vendredi 31 juillet 2009

LA QUESTION DES PREUVES

N'étant pas de formation scientifique, et n'étant qu'une simple malade, les preuves devront être recherchées dans la bibliographie que je suis en train de rédiger. La lecture de nombreux ouvrages, et de leur propre bibliographie, est un effort que vous devez faire impérativement, car je ne veux pas que l'on me croie sur parole. Votre conviction ne pourra être sincère que si vous vous informez objectivement, et en restant critique en permanence. Même pour les livres que je vous conseille, je ne suis pas en accord avec 100% de ce qui est écrit. Donc, je plaide pour la critique avant toute chose.

Par contre, j'aimerais dire un mot sur la manière dont ces preuves ont été établies. La plupart des expériences scientifiques sont faites sur des animaux. Maintenant que cela est fait, il serait dommage de ne pas utiliser ces résultats. Par contre, je suis opposée formellement à l'établissement de nouvelles preuves de ce que nous avançons. Dis comme cela, ça peut paraître étrange. En voici les raisons :

1) Je suis opposée à l'expérimentation animale pour des raisons éthiques. Les animaux ont un système nerveux, ainsi qu'un psychisme. Ils souffrent physiquement et moralement de ces expériences, ce que je ne peux tolérer. Guérir des souffrances (humaines) en générant d'autres souffrances (animales), est un concept que ma morale réprouve. C'est pourquoi je dis stop: arrêtons de nous acharner sur des innocents. Il y a eu assez d'expériences, à l'international notamment. Analysons les résultats de ce qui a déjà été fait. Mais arrêtons là l'engrenage de la souffrance. Nous ne pouvons pas leur faire subir des expériences que nous n'accepterions jamais sur nous-mêmes, parce que ce sont des êtres plus faibles et plus fragiles. Sinon, c'est profiter de l'infériorité d'autrui pour l'asservir à nos désirs...ce que font les lobbies industriels et pharmaceutiques avec nous...la victime devient bourreau !

2) Réclamer toujours plus de preuves est un moyen de toujours faire reculer l'échéance d'une prise de décision. Par exemple, le projet européen REACH (où tous les produits chimiques vont être testés pour vérifier leur toxicité) est une victoire pour les industriels...pas pour les malades, ni pour les écologistes, contrairement à ce croient certains! Des milliers d'études ont déjà été publiées : nous savons tous que la quasi-totalité de ces produits sont dangereux pour la santé. Nous ne devons plus être à l'heure du questionnement, mais à l'heure de l'action. Il faut retirer purement et simplement les produits chimiques des marchés.

Arrêtons donc de nous voiler la face : si les industriels croyaient leurs produits inoffensifs, ils en prendraient tous les matins au petit déjeuner !

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CHAQUE FAMILLE EST TOUCHEE PAR UNE MALADIE ENVIRONNEMENTALE

Que pouvons-nous englober dans les maladies de l'environnement ?

1) De nombreuses maladies dont l'étiologie est affirmée comme inconnue par les pouvoirs publics. Ce qui implique de nombreux malades, qui pourraient trouver une amélioration (voire la guérison) de leur maladie, grâce aux thérapies de désintoxication proposées par la médecine environnementale :

- Cancers
- Maladie d'Alzheimer et autres maladies neurodégénératives
- Maladie de Parkinson
- Diabète
- Asthme
- Allergies, Eczéma, Zona
- Dépression
- Sclérose en plaques et autres scléroses
- Maladie de Crohn et autres maladies auto-immunes
- Fibromyalgie, Syndrome de fatigue chronique
- Spasmophilie, Tétanie
- Hyperactivité, Autisme, Dyslexie
- Epilepsie

2) De nombreux symptômes, qui n'ont pas reçus "l'étiquette" d'une maladie, mais qui sont particulièrement lourds et handicapants dans la vie quotidienne :

- Infections chroniques
- Mycoses chroniques
- Migraines récidivantes et rebelles à tout traitement
- Douleurs articulaires et musculaires
- Fatigue intense et ne cédant pas avec du repos
- Problèmes de mémoire et de concentration
- Hypoglycémie
- Problèmes de peau (prurit par ex.)
- Difficultés à respirer, oppression de la poitrine
- Spasmes, mouvements involontaires, tremblements, difficultés de coordination des mouvements
- Fourmillements, engourdissement, gonflement des extrémités
- Maux d'estomac, troubles digestifs (qui s'améliorent en suivant un régime sans produits laitiers et sans gluten : c'est un signe d'une possible intoxication)
- Troubles cardiaques
- Pertes de cheveux
- Acouphènes
- Réduction du champ visuel
- Fièvre persistante
- Névralgies faciales
- Problèmes de bouche (goût métallique, inflammations, déchaussement des dents, coloration des gencives)
- Difficultés à avoir des enfants (fausses couches, foetus malformés, etc.)
- Irritabilité, angoisses, instabilité de l'humeur
- Vertiges, pertes d'équilibre
- etc., etc.

Beaucoup de ces maladies sont dues aux métaux lourds, dont les antidotes existent : les chélateurs (DMPS, DMSA, EDTA, etc.). Mais les Centres antipoisons les administrent seulement aux personnes victimes d'intoxication aiguë. Tous les autres malades, qui sont en contact à petites doses mais régulières avec ces poisons, sont ignorés.

Cette situation doit cesser ! Nous avons le droit de savoir si nous avons dans le corps de l'arsenic, du mercure, du cadmium, du plomb, et autres poisons ! Et si nous en avons effectivement, nous avons le droit légitime d'avoir accès aux antidotes, comme nos voisins les allemands ou les britanniques !

Chaque famille, chaque foyer est concerné par ce scandale !
MOBILISONS-NOUS !

A consulter : le site de l'association Antidote Europe
- 1 million de morts en Europe du aux produits chimiques, et des millions d'autres malades...
- 28 substances évaluées par la toxicologie scientifique

LES PETITIONS

* Pour l'accès à la médecine environnementale en France petition * Pétition Non au mercure dentaire * Pétition : Soutenons notre amie Danièle dans sa démarche pour que sa maladie soit enfin reconnue !!! Voir le groupe Facebook: Intoxication aux métaux lourds...reconnaissance médicale demandée * Pétition "OGM:établissons d'abord les faits"

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