vendredi 7 août 2009
Citation commentée du Pr Belpomme
Dominique Belpomme, professeur de cancérologie :
"Règle n°5: Manger régulièrement du poisson
Il faut recommander la consommation des poissons de mer frais ou surgelés, car ils apportent des protéines à haute valeur nutritionnelle et des oligo-éléments. En outre, les poissons gras (thons, saumons, maquereaux, harengs, sardines, etc.) sont riches en acides gras oméga 3 [...] la consommation privilégiée d'acide gras oméga 3 [...] est un moyen de protection contre l'apparition de certains cancers, en particulier des cancers du sein, de la prostate et du gros intestin. Des recherches plus précises doivent encore être menées, mais [...] manger régulièrement des poissons gras peut constituer une protection contre la genèse des cancers.
Le gros problème vient du fait que ces poissons risquent eux-mêmes d'être contaminés par les polluants. En effet, les poissons sauvages étant en voie de disparition, ceux proposés aux consommateurs sont de plus en plus souvent des poissons de pisciculture, dont on ne sait pas avec précision de quelle façon ils ont été nourris. Je recommande donc d'acheter des poissons dont on connaît la provenance, c'est-à-dire, dans la mesure du possible, s'il s'agit de poissons sauvages, de s'assurer qu'ils ont été pêchés dans une région où la mer n'est pas polluée, et, s'il s'agit de poissons de pisciculture, de s'assurer des conditions d'élevage. Cependant, en pratique, ce contrôle est très difficile. Ainsi, dans le doute, surtout hors des zones de pêche, je conseille de diversifier les provenances, autrement dit d'acheter son poisson chez différents poissonniers en s'assurants à chaque fois de sa fraîcheur et de son origine. Pour les poissons surgelés ou en conserve, il faut lire attentivement les étiquettes. Une même précaution concerne l'achat des fruits de mer. On peut sans problème manger des fruits de mer si on respecte les saisons (les mois en "r" pour les huîtres) et les interdits liés aux risques de pollution (marées noires), mais sans excès, surtout si on les a pêchés soi-même, car ils peuvent aussi concentrer à très faibles doses certains polluants."
La version "off" :
Dans son livre "Guérir du cancer ou s'en protéger", édité en 2008, le Professeur en cancérologie Dominique Belpomme nous fait part de ses connaissances en les présentant comme "un véritable espoir, à condition de changer notre approche de la maladie" (son sous-titre).
Pourtant, ses conseils, qui confortent les parents dans l'attitude de faire manger du poisson à leurs enfants est criminel. En manger soi-même est suicidaire. Affirmer dans un chapitre appelé "30 règles individuelles pour éviter l'apparition des cancers", que manger du poisson régulièrement permet de prévenir le cancer, pouvait se faire il y a quelques dizaines d'années. En 2008, avec les connaissances actuelles (sachant que les poissons sont utilisés comme des indicateurs de pollution aux métaux lourds par les scientifiques !), continuer à l'affirmer, c'est de l'aveuglement, c'est ne pas vouloir remettre en question les connaissances au fur et à mesure de leur évolution, et ne pas vouloir mettre en place une nouvelle politique de lutte contre la pollution de l'environnement qui intègrerait l'humain dans cet environnement, et donc sa santé.
La grande majorité des métaux lourds finissent dans l'océan, et le poisson fait partie des aliments qui accumulent le plus ces métaux dans leur chair. Notamment, les poissons en bout de chaîne alimentaire (les poissons carnivores les plus gros, comme le thon). Les métaux lourds étant bioaccumulateurs, le thon (par exemple) va accumuler dans sa chair les métaux lourds de tous les poissons qu'il aura avalés au cours de son existence.
Par contre, il est vrai que les oméga 3 sont indispensables au corps. C'est pourquoi on doit pouvoir en trouver dans des organismes non accumulateurs : l'huile de lin par exemple. (Pour ce qui concerne "les recherches en la matière", voir mon article "La question des preuves").
"Les poissons risquent d'êtres contaminés". Ils le sont tous, dans tous les coins du globe. La pollution a eu des décennies pour se diffuser dans la mer. Même les pôles sont pollués. Les poissons sauvages sont donc tout autant contaminés que les poissons de pisciculture. Les poissons de pisciculture peuvent être nourris aux farines animales. Mais il y a aussi beaucoup de poissons sauvages qui vont se nourrir aux sorties d'égoûts des villes côtières. Par exemple, en Méditerranée (mer la plus polluée au monde), les villes se multiplient, sans construire de stations d'épurations. Ces villes sont parmi les plus grandes sources de pollution pour la Méditerranée.
D'autre part, s'il y avait des mers non polluées, ça se saurait. Mais depuis l'affaire Tchernobyl, tout le monde sait que les frontières invisibles n'existent pas. Tous les coins de la Terre sont reliés par la circulation de l'eau et de l'air (courants marins, précipitations, etc.).
Dire qu'il faut s'assurer de la fraîcheur du produit, c'est Lapalisse, mais ça remplit des pages. Avec des affirmation de ce type, on peut facilement écrire un livre de 446 pages.
Quant à lire attentivement les étiquettes des produits, je ne sais pas vous, mais moi, quand je vais acheter du poisson (ou plutôt, quand j'allais acheter du poisson : il faut parler au passé), je n'ai jamais vu sur l'étiquette indiquées les analyses:
- PCB : 30 picogrammes /gramme de poisson
- Plomb : 40 microgramme / g, etc.
Si vous connaissez une marque qui soit transparente à ce point-là, vous pouvez téléphoner à Paris Match, ce sera un vrai scoop !
Pour les fruits de mer, c'est encore pire que le poisson. Les huîtres, les moules, sont des organismes filtreurs. Ils accumulent donc encore plus les métaux lourds. Ils sont à proscrire absolument. Le fait que ce soient des professionnels qui les pêchent, et donc les fassent dégorger quelques heures (ou journées) dans des bacs n'y change pas grand chose. Comme pour nous, les métaux lourds se sont accumulés dans leurs tissus.
Là où je rejoins le Pr Belpomme dans sa sagesse, c'est que, effectivement, il ne faut pas consommer les coquillages "lors d'une marée noire" : je savais ça quand j'avais 5 ans !!! Heureusement que le ridicule ne tue pas, sinon, il y aurait une hécatombe de Professeurs d'université...
Le conseil de diversifier les provenances de poissons en changeant régulièrement de poissonnier, est aussi un bon argument:
- le lundi, on contamine toute sa petite famille au mercure avec le poisson de St Malo
- le mardi, on fait une cure d'arsenic, avec du poisson de l'Atlantique
- le mercredi, on complète nos apports en césium et en plomb avec les pêches du Havre
- le jeudi, on se recharge en tungstène et en uranium avec le thon des côtes espagnoles
- et le vendredi, jour du poisson, on agonise tous joyeusement sur le canapé !
Bonnes vacances au bord de la mer !
"Règle n°5: Manger régulièrement du poisson
Il faut recommander la consommation des poissons de mer frais ou surgelés, car ils apportent des protéines à haute valeur nutritionnelle et des oligo-éléments. En outre, les poissons gras (thons, saumons, maquereaux, harengs, sardines, etc.) sont riches en acides gras oméga 3 [...] la consommation privilégiée d'acide gras oméga 3 [...] est un moyen de protection contre l'apparition de certains cancers, en particulier des cancers du sein, de la prostate et du gros intestin. Des recherches plus précises doivent encore être menées, mais [...] manger régulièrement des poissons gras peut constituer une protection contre la genèse des cancers.
Le gros problème vient du fait que ces poissons risquent eux-mêmes d'être contaminés par les polluants. En effet, les poissons sauvages étant en voie de disparition, ceux proposés aux consommateurs sont de plus en plus souvent des poissons de pisciculture, dont on ne sait pas avec précision de quelle façon ils ont été nourris. Je recommande donc d'acheter des poissons dont on connaît la provenance, c'est-à-dire, dans la mesure du possible, s'il s'agit de poissons sauvages, de s'assurer qu'ils ont été pêchés dans une région où la mer n'est pas polluée, et, s'il s'agit de poissons de pisciculture, de s'assurer des conditions d'élevage. Cependant, en pratique, ce contrôle est très difficile. Ainsi, dans le doute, surtout hors des zones de pêche, je conseille de diversifier les provenances, autrement dit d'acheter son poisson chez différents poissonniers en s'assurants à chaque fois de sa fraîcheur et de son origine. Pour les poissons surgelés ou en conserve, il faut lire attentivement les étiquettes. Une même précaution concerne l'achat des fruits de mer. On peut sans problème manger des fruits de mer si on respecte les saisons (les mois en "r" pour les huîtres) et les interdits liés aux risques de pollution (marées noires), mais sans excès, surtout si on les a pêchés soi-même, car ils peuvent aussi concentrer à très faibles doses certains polluants."
La version "off" :
Dans son livre "Guérir du cancer ou s'en protéger", édité en 2008, le Professeur en cancérologie Dominique Belpomme nous fait part de ses connaissances en les présentant comme "un véritable espoir, à condition de changer notre approche de la maladie" (son sous-titre).
Pourtant, ses conseils, qui confortent les parents dans l'attitude de faire manger du poisson à leurs enfants est criminel. En manger soi-même est suicidaire. Affirmer dans un chapitre appelé "30 règles individuelles pour éviter l'apparition des cancers", que manger du poisson régulièrement permet de prévenir le cancer, pouvait se faire il y a quelques dizaines d'années. En 2008, avec les connaissances actuelles (sachant que les poissons sont utilisés comme des indicateurs de pollution aux métaux lourds par les scientifiques !), continuer à l'affirmer, c'est de l'aveuglement, c'est ne pas vouloir remettre en question les connaissances au fur et à mesure de leur évolution, et ne pas vouloir mettre en place une nouvelle politique de lutte contre la pollution de l'environnement qui intègrerait l'humain dans cet environnement, et donc sa santé.
La grande majorité des métaux lourds finissent dans l'océan, et le poisson fait partie des aliments qui accumulent le plus ces métaux dans leur chair. Notamment, les poissons en bout de chaîne alimentaire (les poissons carnivores les plus gros, comme le thon). Les métaux lourds étant bioaccumulateurs, le thon (par exemple) va accumuler dans sa chair les métaux lourds de tous les poissons qu'il aura avalés au cours de son existence.
Par contre, il est vrai que les oméga 3 sont indispensables au corps. C'est pourquoi on doit pouvoir en trouver dans des organismes non accumulateurs : l'huile de lin par exemple. (Pour ce qui concerne "les recherches en la matière", voir mon article "La question des preuves").
"Les poissons risquent d'êtres contaminés". Ils le sont tous, dans tous les coins du globe. La pollution a eu des décennies pour se diffuser dans la mer. Même les pôles sont pollués. Les poissons sauvages sont donc tout autant contaminés que les poissons de pisciculture. Les poissons de pisciculture peuvent être nourris aux farines animales. Mais il y a aussi beaucoup de poissons sauvages qui vont se nourrir aux sorties d'égoûts des villes côtières. Par exemple, en Méditerranée (mer la plus polluée au monde), les villes se multiplient, sans construire de stations d'épurations. Ces villes sont parmi les plus grandes sources de pollution pour la Méditerranée.
D'autre part, s'il y avait des mers non polluées, ça se saurait. Mais depuis l'affaire Tchernobyl, tout le monde sait que les frontières invisibles n'existent pas. Tous les coins de la Terre sont reliés par la circulation de l'eau et de l'air (courants marins, précipitations, etc.).
Dire qu'il faut s'assurer de la fraîcheur du produit, c'est Lapalisse, mais ça remplit des pages. Avec des affirmation de ce type, on peut facilement écrire un livre de 446 pages.
Quant à lire attentivement les étiquettes des produits, je ne sais pas vous, mais moi, quand je vais acheter du poisson (ou plutôt, quand j'allais acheter du poisson : il faut parler au passé), je n'ai jamais vu sur l'étiquette indiquées les analyses:
- PCB : 30 picogrammes /gramme de poisson
- Plomb : 40 microgramme / g, etc.
Si vous connaissez une marque qui soit transparente à ce point-là, vous pouvez téléphoner à Paris Match, ce sera un vrai scoop !
Pour les fruits de mer, c'est encore pire que le poisson. Les huîtres, les moules, sont des organismes filtreurs. Ils accumulent donc encore plus les métaux lourds. Ils sont à proscrire absolument. Le fait que ce soient des professionnels qui les pêchent, et donc les fassent dégorger quelques heures (ou journées) dans des bacs n'y change pas grand chose. Comme pour nous, les métaux lourds se sont accumulés dans leurs tissus.
Là où je rejoins le Pr Belpomme dans sa sagesse, c'est que, effectivement, il ne faut pas consommer les coquillages "lors d'une marée noire" : je savais ça quand j'avais 5 ans !!! Heureusement que le ridicule ne tue pas, sinon, il y aurait une hécatombe de Professeurs d'université...
Le conseil de diversifier les provenances de poissons en changeant régulièrement de poissonnier, est aussi un bon argument:
- le lundi, on contamine toute sa petite famille au mercure avec le poisson de St Malo
- le mardi, on fait une cure d'arsenic, avec du poisson de l'Atlantique
- le mercredi, on complète nos apports en césium et en plomb avec les pêches du Havre
- le jeudi, on se recharge en tungstène et en uranium avec le thon des côtes espagnoles
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Bonnes vacances au bord de la mer !
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CHAQUE FAMILLE EST TOUCHEE PAR UNE MALADIE ENVIRONNEMENTALE
Que pouvons-nous englober dans les maladies de l'environnement ?
1) De nombreuses maladies dont l'étiologie est affirmée comme inconnue par les pouvoirs publics. Ce qui implique de nombreux malades, qui pourraient trouver une amélioration (voire la guérison) de leur maladie, grâce aux thérapies de désintoxication proposées par la médecine environnementale :
- Cancers
- Maladie d'Alzheimer et autres maladies neurodégénératives
- Maladie de Parkinson
- Diabète
- Asthme
- Allergies, Eczéma, Zona
- Dépression
- Sclérose en plaques et autres scléroses
- Maladie de Crohn et autres maladies auto-immunes
- Fibromyalgie, Syndrome de fatigue chronique
- Spasmophilie, Tétanie
- Hyperactivité, Autisme, Dyslexie
- Epilepsie
2) De nombreux symptômes, qui n'ont pas reçus "l'étiquette" d'une maladie, mais qui sont particulièrement lourds et handicapants dans la vie quotidienne :
- Infections chroniques
- Mycoses chroniques
- Migraines récidivantes et rebelles à tout traitement
- Douleurs articulaires et musculaires
- Fatigue intense et ne cédant pas avec du repos
- Problèmes de mémoire et de concentration
- Hypoglycémie
- Problèmes de peau (prurit par ex.)
- Difficultés à respirer, oppression de la poitrine
- Spasmes, mouvements involontaires, tremblements, difficultés de coordination des mouvements
- Fourmillements, engourdissement, gonflement des extrémités
- Maux d'estomac, troubles digestifs (qui s'améliorent en suivant un régime sans produits laitiers et sans gluten : c'est un signe d'une possible intoxication)
- Troubles cardiaques
- Pertes de cheveux
- Acouphènes
- Réduction du champ visuel
- Fièvre persistante
- Névralgies faciales
- Problèmes de bouche (goût métallique, inflammations, déchaussement des dents, coloration des gencives)
- Difficultés à avoir des enfants (fausses couches, foetus malformés, etc.)
- Irritabilité, angoisses, instabilité de l'humeur
- Vertiges, pertes d'équilibre
- etc., etc.
Beaucoup de ces maladies sont dues aux métaux lourds, dont les antidotes existent : les chélateurs (DMPS, DMSA, EDTA, etc.). Mais les Centres antipoisons les administrent seulement aux personnes victimes d'intoxication aiguë. Tous les autres malades, qui sont en contact à petites doses mais régulières avec ces poisons, sont ignorés.
Cette situation doit cesser ! Nous avons le droit de savoir si nous avons dans le corps de l'arsenic, du mercure, du cadmium, du plomb, et autres poisons ! Et si nous en avons effectivement, nous avons le droit légitime d'avoir accès aux antidotes, comme nos voisins les allemands ou les britanniques !
Chaque famille, chaque foyer est concerné par ce scandale !
MOBILISONS-NOUS !
A consulter : le site de l'association Antidote Europe
- 1 million de morts en Europe du aux produits chimiques, et des millions d'autres malades...
- 28 substances évaluées par la toxicologie scientifique
1) De nombreuses maladies dont l'étiologie est affirmée comme inconnue par les pouvoirs publics. Ce qui implique de nombreux malades, qui pourraient trouver une amélioration (voire la guérison) de leur maladie, grâce aux thérapies de désintoxication proposées par la médecine environnementale :
- Cancers
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- Maladie de Crohn et autres maladies auto-immunes
- Fibromyalgie, Syndrome de fatigue chronique
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2) De nombreux symptômes, qui n'ont pas reçus "l'étiquette" d'une maladie, mais qui sont particulièrement lourds et handicapants dans la vie quotidienne :
- Infections chroniques
- Mycoses chroniques
- Migraines récidivantes et rebelles à tout traitement
- Douleurs articulaires et musculaires
- Fatigue intense et ne cédant pas avec du repos
- Problèmes de mémoire et de concentration
- Hypoglycémie
- Problèmes de peau (prurit par ex.)
- Difficultés à respirer, oppression de la poitrine
- Spasmes, mouvements involontaires, tremblements, difficultés de coordination des mouvements
- Fourmillements, engourdissement, gonflement des extrémités
- Maux d'estomac, troubles digestifs (qui s'améliorent en suivant un régime sans produits laitiers et sans gluten : c'est un signe d'une possible intoxication)
- Troubles cardiaques
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- Vertiges, pertes d'équilibre
- etc., etc.
Beaucoup de ces maladies sont dues aux métaux lourds, dont les antidotes existent : les chélateurs (DMPS, DMSA, EDTA, etc.). Mais les Centres antipoisons les administrent seulement aux personnes victimes d'intoxication aiguë. Tous les autres malades, qui sont en contact à petites doses mais régulières avec ces poisons, sont ignorés.
Cette situation doit cesser ! Nous avons le droit de savoir si nous avons dans le corps de l'arsenic, du mercure, du cadmium, du plomb, et autres poisons ! Et si nous en avons effectivement, nous avons le droit légitime d'avoir accès aux antidotes, comme nos voisins les allemands ou les britanniques !
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* Pétition Non au mercure dentaire
* Pétition : Soutenons notre amie Danièle dans sa démarche pour que sa maladie soit enfin reconnue !!!
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Intoxication aux métaux lourds...reconnaissance médicale demandée
* Pétition "OGM:établissons d'abord les faits"
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